Une histoire d'éducation de mari par la cage de chasteté 2

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il y a 7 ans

CHAPITRE VII : Une nouvelle vie

La leçon avait été sévère mais elle avait portée ses fruits. Nicolas redoubla d'attentions et d'efforts pour plaire à Mélinda et se sentir moins coupable. Une semaine passa, puis deux, puis trois ... Mélinda ne l'avait toujours pas libéré mais il ne s'en étonnait même pas. Il savait qu'il devait être puni pour ce qu'il avait voulu faire et il trouvait même cela normal.

Mais après 1 mois, il commençait toutefois à ressentir un énorme manque. Non seulement un manque sexuel, mais aussi un manque d'affections. Avec le temps, il avait fini par très bien supporter sa cage. Les érections nocturnes avaient disparu depuis longtemps et, même lorsqu'il croisait une jolie femme dans la rue, il n'avait plus de pensées malsaines. En fait, tous ses désirs étaient maintenant tournés vers Mélinda. Il sentait d'ailleurs que son amour pour elle était incroyablement fort et le submergeait de plus en plus souvent.

De son coté, Mélinda, s'était encore plus rapprochée de Julie depuis l'épisode du tatouage. Les 2 femmes étaient devenues inséparables et se voyaient très souvent. Mais, après un mois d'abstinence, Mélinda aussi ressentait de plus en plus un manque. Elle en parla à Julie au détour d'une conversation.

  • Tu sais ... Je crois que je vais libérer Nicolas ...

  • Non ne fait surtout pas ça ! Il faut qu'il prenne le temps de réfléchir !

  • Je sais ... mais j'ai besoin ...

  • Comment ça ?

  • Ben ... Je crois que je suis trop en manque la ...

  • Ah !!! Mais c'est normal !!! Ne t'inquiète pas ma belle, ce soir on va au Neptune tu verras ça te fera du bien.

  • Le Neptune ?...

  • Oui c'est une boite assez classe qui est en train de monter ... Tu verras tu vas adorer.

  • Ah d'accord ... oui tu as raison ça va me changer les idées.

Et c'est ainsi que, le soir même, les deux femmes étaient au Neptune. Cela faisait longtemps que Mélinda n'était plus allée en boite, mais elle retrouva vite le goût de la musique forte et de l'ambiance.

A un moment de la soirée, Julie lui présenta un certain Marco, qu'elle connaissait apparemment depuis longtemps. Marco était un beau jeune homme, au teint mat, et visiblement habitué des salles de musculation. Il plut très vite à Mélinda et ne se priva pas pour en jouer en la faisant rire. Pour finir, il l'invita à danser.

Sur la piste, Marco était, ce qu'on pourrait appeler, un danseur très tactile. Il dansait très près de Mélinda, lui touchait les épaules, la serrait dans ses bras, lui tenait la main ... De son coté, elle prenait beaucoup de plaisir à ces moments qu'elle n'avait plus connus depuis des années.

De retour dans la salle, Mélinda et Marco s’assirent à la première table venue, commandèrent un verre et parlèrent de ce qu'ils faisaient dans la vie, de ce qu'ils aimaient... C'est ainsi que Mélinda apprit que Marco était animateur, qu'il avait 30 ans et qu'il souffrait beaucoup d'une séparation récente. De son coté Mélinda lui expliqua, sans plus de détails, qu'elle était mariée. "Pas grave : je ne suis pas jaloux" lui dit Marco. Mélinda éclata de rire.

C'est alors qu'elle reçut un SMS de Julie... Ah Julie !!! Elle l'avait carrément oubliée et se dit alors qu'elle devait être en train de la chercher. Elle lut le SMS : "Ma belle je suis partie. Tu n'auras qu'à demander à Marco de te raccompagner"

Mélinda n'était sure de rien, mais se dit que ça sentait quand même le coup monté... Mais après tout, si le coup en question était Marco ... Pourquoi pas ...

Elle rangea le téléphone et continua sa soirée avec Marco. Celui-ci ne se privait pas, l'air de rien, d'être de plus en plus tactile. Tantôt, il lui posait la main sur le genou, comme pour attirer son attention (alors qu'il avait déjà toute son attention). Tantôt, une exclamation était l'occasion de lui mettre la main sur la cuisse. Quand elle se leva pour aller chercher un verre, il se dressa lui aussi et la prit par la taille pour lui dire de se rasseoir.

Bien loin de lui paraître déplacés, ces petits gestes faisaient à chaque fois frissonner Mélinda. Et bien sûr, ce qui devait arriver arriva. D'abord, profitant d'un instant de particulière proximité, ils échangèrent un long et tendre baiser. Mais surtout, au moment de raccompagner Mélinda, Marco lui proposa de faire un détour par son appartement. Elle accepta.

Dans l'appartement, blottis l'un contre l'autre sur le canapé, le couple reprit son échange de baisers. Marco avait abandonné le genou et la cuisse, pour maintenant s'occuper du cou de Mélinda, de ses seins, et bientôt lui faire comprendre que sa prochaine cible était son entre-jambe.

Mélinda était maintenant au comble du désir. Le couple se leva du canapé et elle aida Marco à lui retirer son chemisier et sa jupe. Celui-ci se rassit alors comme pour profiter d'un spectacle. Mélinda mima une petite danse langoureuse qui finit d'échauffer Marco qui n'en pouvait plus, lui non plus. "Donnes moi ton soutien gorge !" lui lança t'il comme une provocation. Elle s’exécuta. Il était aux anges. Elle était radieuse. "T'es trop belle !!! J'adore !! Allez maintenant je veux ton string !". Mélinda enleva son string et le lui offrit.

Marco se releva alors et a son tour se déshabilla. Alors qu'il n'avait plus que son boxer, il regarda Mélinda et lui demanda "tu veux voir ton cadeau ? ... Alors viens le déballer".

A genoux, Mélinda fit descendre le boxer, dévoilant un magnifique pénis. Sans être déjà totalement en érection, il était très épais et marqué par de grosses veines. D'instinct, Mélinda se mit immédiatement à le sucer.

Après quelques instants, Marco était maintenant prêt pour la suite. Il amena Mélinda dans sa chambre, la coucha sur le lit et se mis à lécher et embrasser son sexe et son clitoris. Il senti qu'elle mouillait déjà mais il continua car il la voulait encore plus humide. Lorsque ce fut fait, il lui introduit 1 doigt, puis 2, puis 3 ...

Mélinda vivait un immense moment de plaisir et se senti plusieurs fois partir vers l'orgasme. Marco avait ce génie de savoir amener les femmes au bord de l'orgasme mais sans jamais le leur donner, ce qui les rendaient encore plus demandeuses. Lorsqu'il su que c'était le moment, il se coucha sur Mélinda et la pénétra immédiatement. Elle était dans une telle tension que cela provoqua chez elle instantanément une explosion de plaisir.

Mélinda n'avait plus eu ces sensations depuis des années - si tant est qu'elle les avait jamais eues - et chaque va et viens de son amant la remplissait d'un plaisir infini. Elle sentit un premier orgasme arriver du plus profond d'elle même, puis un deuxième... Elle en avait la tête qui lui tournait. Alors qu'ils étaient maintenant en levrette, elle eu tout juste le réflexe de stopper Marco lorsque celui-ci approcha sa queue de son anus. Il s'en était fallu d'une seconde. Cela lui fit un peu reprendre ses esprits, mais ce fut pour encore mieux ressentir son 3ème orgasme. Quelques secondes plus tard, ce fut au tour de Marco de connaître l'extase et le couple s'effondra dans le lit, en sueur, exténué...

Mélinda ne pourrait pas dire combien de temps il lui fallut pour reprendre ses esprit, mais lorsqu'elle eu le courage de lever la tête et de regarder le réveil, celui ci affichait 4:12.

  • Il faut que tu me ramènes, lui dit-elle.

  • Oui ... Mon dieu ce que c'était bon...

  • Oui j'ai adoré.

  • Moi, c'est toi que j'adore... Je te veux tous les soirs !

  • Je suis mariée je te rappelle.

  • Je m'en fou je te le rappelle.

  • Moi aussi là !

Et le couple éclata de rire. Quelques minutes après, ils se rhabillèrent, non sans échanger de nombreux baisers, puis Marco raccompagna Mélinda chez elle.

Lorsqu'elle arriva, il était pratiquement 5 heures du matin. Nicolas était toujours debout.

  • Qu'est-ce que tu fais encore debout ? lui demanda t'elle mi-surprise, mi-fâchée.

  • Je me faisais du souci ... Je t'ai envoyé des textos mais tu ne me répondais pas.

  • J'avais mieux à faire.

  • Oui mais j'étais inquiet...

  • Fallait pas la preuve ! Bon va te coucher je suis là maintenant.

  • Oui ! Bonne nuit ma chérie ... Je t'aime ...

  • Bonne nuit !

CHAPITRE VIII : L'éducation se termine

Dans les semaines et les mois qui suivirent, Mélinda continua à voir souvent Julie ... et à voir parfois Marco. De son coté, les privations avaient rendues Nicolas encore plus amoureux de sa femme et encore plus attentionné. Elles avaient aussi d'autres conséquences. En effet, alors qu'il était toujours en cage depuis 3 mois, Mélinda parla à Julie d'un "petit" problème.

  • Tu sais Julie ... Hier soir je regardais Nicolas à la salle de bain et j'ai été étonnée d'un truc.

  • Ah bon ? Quoi ?

  • J'ai l'impression qu'il remplit moins sa cage qu'avant.

  • Ca fait combien de temps la maintenant qu'il est dedans ?

  • 3 mois.

  • Ah oui ... En général c'est ce qui arrive.

  • De quoi ?

  • A f o r c e de ne plus pouvoir avoir d'érection, les tissus du pénis se rétractent.

  • Ah ?... Tu veux dire que c'est son pénis qui a raccourci ?

  • Il est plus court ... et moins large aussi ... oui.

  • Mais il m'a semblé vraiment plus court...

  • Chez certains hommes, la réduction peut être assez importante oui.

  • Mais c'est juste au repos ou en érection aussi ?

  • C'est les 2 ...

  • Il faut faire quoi ?

  • Lui mettre une cage plus courte.

  • Tu crois ?

  • Oui, il faut que la cage soit adaptée sinon cela leur provoque des blessures... Sans compter que si ils arrivent a bander ou à la sortir c'est très mauvais.

  • Il y en a qui la sorte ?

  • Oui ça arrive ... Surtout ceux avec des petits pénis... c'est plus compliqué à encager.

  • Et on fait comment dans ces cas là ?

  • Il y a des modèles avec une tige qu'on leur rentre dans l'urètre. C'est radical.

  • Mais ?...

  • Mais c'est très inconfortable ... Donc on le réserve aux hommes qui ne respectent pas les règles.

  • Ah d'accord ... et pour Nicolas ?

  • Tu me l'amènes et on regarde ce qu'il faut faire.

Quelques jours plus tard, Mélinda est Nicolas étaient chez le docteur Johanson.

Les poils avaient repoussés et on ne distinguait presque plus le tatouage. Mais le docteur Johanson observait surtout la cage. Elle resta un moment pensive, l'air soucieuse, puis se releva.

  • On va passer à du 4.

  • Du 4 !? S'exclama Nicolas. Mais la j'ai du 7 !

  • Je sais, répondit le docteur Johanson d'un air compatissant.

Quelques instant plus tard, elle revient avec une cage qui était effectivement beaucoup plus courte que celle que portait Nicolas. Elle ôta le cadenas, enleva la cage et mis la nouvelle... Le pénis rentra sans problème.

Presque sans un mot, comme si chacun était dans ses pensées, le couple paya la consultation. Au moment de partir, le docteur Johanson pris Mélinda à part. Elle avait l'air soucieuse.

  • Il a vraiment beaucoup raccourci.

  • Oui ... je me suis rendu compte... C'est grave ?

  • Au contraire ! Je pense qu'il est devenu le mari idéal !

  • Ah bon ? Parce qu'il a un petit pénis ?

  • Pas seulement ... Essaie de le libérer et de le masturber ... Tu verras ...

  • Je verrai quoi ?

  • Tu verras... Masturbe le !

  • Oui d'accord ...

  • Allez je t'adore ma belle !!! Et profite !!

  • Moi aussi je t'adore !!! A bientôt.

Rentrée à la maison, Mélinda pensait à ce que lui avait dit Julie. Elle proposa à Nicolas "comme il avait été parfait" de lui faire un plaisir. Il était aux anges.

Elle lui enleva sa cage et commença à le masturber. Puis, elle le suça pendant de longues minutes. Elle leva alors les yeux et le regarda.

  • Je suis désolé, lui dit-il.

Il n'avait aucun début d'érection.

  • Ce n'est pas grave, on essaiera plus tard, lui dit-elle pendant qu'elle lui remettait la cage.

  • Non !... Je t'en supplie pardonne moi ... Je t'aime tellement tu sais...

  • Ce n'est pas grave je te dis !

Elle avait compris ce que voulait lui dire Julie. Quelques minutes plus tard, elle prit la voiture et se précipita chez Marco.

Une très bonne doctoresse, dommage qu'il y en ait très/trop peu comme elle
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